On vous met d’accord sur un point…Que boire avec ces 2 plats que l’on retrouve souvent sur vos tables de Shabat ?
La Pkaila est un des plats les plus emblématiques de la cuisine juive tunisienne.
Le mot pkaila signifie “épinard” en arabe dialectal tunisien. Ce plat étant principalement composé d’épinards confits, accompagné d’haricots blancs, fait partie de tous ces plats longuement mijotés qui se préparent avant Shabat, pour être mijoté longuement.
La dafina, quant à elle, est appelée également la skhina ou skhéna est un plat traditionnel parmi les plus délicieux des cuisines judéo-marocaine et judéo-maghrébine.
Le mot dafina est un mot judéo-arabe signifiant “couvert”, “très chaud”, “étouffé” et ce, en regard du mode de cuisson.
La dafina marocaine est généralement composée de viande de bœuf, de pied de bœuf ou de veau, de petites pommes de terre, de pois chiches, d’œufs, de riz et de blé.
Les vins rouges, avec des notes fruitées, florales, et un peu grillées seront d’excellents compagnons pour ces plats mijotés ! C’est grâce à leur profil rond, mais charpenté, avec une fine acidité qu’ils sublimeront vos plats.
Le Kessem de chez Agur winery ou encore, le Syrah du domaine Seror accompagneront à la perfection ces 2 plats délicieux !
Le Chabbat approche, et avec lui, l’odeur délicieuse des plats mijotés et le scintillement des bougies. Mais avant de savourer ces plaisirs, il est un rituel essentiel qui donne le coup d’envoi à ce jour sacré : le Kiddouch.
Le Talmud nous dit qu’à Pourim, il est obligatoire de « boire jusqu’à ne plus distinguer entre Haman et Mardochée ». Cette phrase énigmatique a donné lieu à de nombreuses interprétations. Certains la prennent au pied de la lettre et recommandent de s’enivrer jusqu’à perdre la raison. D’autres, plus prudents, y voient une invitation à se réjouir et à célébrer la fête avec modération.
Imaginez… Au cœur d’Yavné, ville israélienne en pleine expansion, se cache un trésor oublié : une immense usine à vin datant de l’époque byzantine. Déterrée par des archéologues au cours des deux dernières années, cette installation révèle une production vinicole d’une ampleur exceptionnelle pour l’époque.
Début janvier, Yoram et moi allions visiter Tulip winery, vers Haifa. Nous avons rencontré Lotan, l’une des propriétaires du vignoble.
Lotan prit le temps d’une dégustation, mais nous expliqua leur inquiétude quant à l’avenir de leur récolte. Nous disant que le millésime 2024 serait très probablement inexistant…
