Tout commence en 1999… Shuki Yashuv fonde, dans un Moshav, le vignoble Agur par passion pour le vin. Shuki, dans une vie antérieure, a été menuisier, linguiste, philosophe, un touche à tout très cultivé.
Il élabore alors ses vins avec intuition, discipline mais sans les techniques œnologiques requises, offrant des vins plutôt artisanaux.
Il décide de rendre le vignoble Casher en 2007, afin de proposer sa production à tous les juifs du monde.
C’est alors qu’Elad Katz, entre sur le domaine. Il est jeune, diplômé, et surtout il possède une grande expérience dans le vin.
En effet, il a été PDG du Domaine du Castel pendant 8 ans, rien de moins. Après l’avoir quitté début 2020, il cherche à investir dans le vin et envisage même de créer une toute nouvelle cave, mais il est attiré par Agur Winery pour sa position, sa réputation et son immense potentiel. Il décide donc d’investir, devient copropriétaire et gérant de la cave.
Ce fut un énorme soulagement pour Shuki, plus artiste qu’homme d’affaires.
Inspiré, Elad décide de faire appel, un peu plus tard, à Eyal Drory pour la vinification.
Eyal, en 2005, travailler dans une ferme en Italie, dans l’agriculture.
Il se passionne alors pour la vigne et commence à étudier pour en acquérir ses meilleures techniques.
Après quelques années passées chez Recanati Winery à Emek Hefer, en tant qu’œnologue, il rejoint Sea Horse à Bar Giora, Eyal rencontre Shuki, grâce à des amis et intègre le domaine. Eyal dit de lui : « Jusqu’à aujourd’hui, je dois remercier Shuki. Il m’a appris le vin, la culture du vin, l’histoire et bien d’autres choses encore. »
Eyal est un artiste, un rêveur passionné d’authenticité. Il est considéré comme l’un des meilleurs jeunes vignerons d’Israël.
Quant à Elad, c’est un visionnaire, avec de grandes ambitions pour le domaine.
Une association complémentaire et parfaite pour ces 3 personnages !
Le Chabbat approche, et avec lui, l’odeur délicieuse des plats mijotés et le scintillement des bougies. Mais avant de savourer ces plaisirs, il est un rituel essentiel qui donne le coup d’envoi à ce jour sacré : le Kiddouch.
Le Talmud nous dit qu’à Pourim, il est obligatoire de « boire jusqu’à ne plus distinguer entre Haman et Mardochée ». Cette phrase énigmatique a donné lieu à de nombreuses interprétations. Certains la prennent au pied de la lettre et recommandent de s’enivrer jusqu’à perdre la raison. D’autres, plus prudents, y voient une invitation à se réjouir et à célébrer la fête avec modération.
Imaginez… Au cœur d’Yavné, ville israélienne en pleine expansion, se cache un trésor oublié : une immense usine à vin datant de l’époque byzantine. Déterrée par des archéologues au cours des deux dernières années, cette installation révèle une production vinicole d’une ampleur exceptionnelle pour l’époque.
Début janvier, Yoram et moi allions visiter Tulip winery, vers Haifa. Nous avons rencontré Lotan, l’une des propriétaires du vignoble.
Lotan prit le temps d’une dégustation, mais nous expliqua leur inquiétude quant à l’avenir de leur récolte. Nous disant que le millésime 2024 serait très probablement inexistant…
